26 December 2013

Pourquoi l'ADC ikibiri a participer aux assises de Kigobe


Ntahimpera J. Marie
Le 26 décembre 2013, Ntahimpera Jean Marie a écrit que « seul l’appel des évêques catholiques a convaincu l’ADC Ikibiri à participer aux Assises de Kigobe », pourtant parler de «  seul… » Serait  exagérer, car plusieurs facteurs ont jouée sur les ambitions de la coalition.

Seul l’autorité morale  que jouit les évêques catholique  ne suffisait pas  pour  que l’ADC IKIBIRI change de position.  Bien d’autres voies silencieuses et menaçantes ont dues intervenir pour que Léonce Ngendakumana, le seul galant  de la coalition opte pour participer aux assises. Plus d’un a constaté que les évêques n’ont pas parvenu à convaincre l’ikibiri de continuer les élections en 2010 bien qu’ils jouissaient de cette  « autorité morale » que Ntahimpera a fait intervenir ci-haut.  

Dans   l’émission Abaduserukira du 14 décembre 2013,  Serges Nibizi avait invité sur les antennes de la RPA, les anciens chefs d’état : Ntibantunganya Sylvestre et, Ndayizeye Domitien ; le Président du Frodebu Nyakuri,  Jean Minani  et Ngendakumana Leonce lui-même Président de l’ADC ikibiri. Le président de la coalition est sortie de cette émission  découragé et écrasé sur le plan argumentatif  quant  à quelle est  la valeur ajoutée de n’est pas participer aux assises de kigobe que certains qualifient d’Arusha II. Les conseils de Ntibantunganya et autres  ont affaiblis l’esprit boycottiste de l’Ikibiri. La participation de l’ikibiri aux débats n’est qu’un résultat de synergies des actions d’intérêts général engagé par plusieurs acteurs. Descendre dans la rue ne n'avait  pas la raison d'être au force de la logique.

De surcroît, plusieurs réunions multiformes au sein et en dehors de l’ADC Ikibiri ont été organisées et ténues  pour convaincre les membres de cette coalition de ne  pas gâcher la  seule  occasion  qui leur  est offerte pour légitimer la probable  descente dans les rues. Selon nos sources, les sages de toutes les parties politiques, la société civile et autres forces vives de la nation ont bien supplié par écrit ou par téléphone,  la coalition de bien vouloir participer aux débats à kigobe.

Aussi, l’expérience de 2010 a servi à structurer au mieux le comportement de l’ikibiri.   Il est vrai que de se retourner, c'est de voir claire dans les décisions  au passé, mais l’avenir ne peut être que meilleur avec une petite lueur du passé pour ne pas prendre les même embuches dans le futur. Pour ne dire que les quatre vérités que le boycotte des élections générales de 2010  par l’opposition a mis au claire les conséquences de certaines décisions politiques.

 
La participation aux débats par l’ADC Ikibiri  n’est pas grâce aux évêques catholiques «  seulement » mais multiples acteurs.  Cette participation montre, à cet effet, que peu à peu nos politiciens deviennent de plus en plus majeurs.

 

 

22 October 2013

who killed Ndadaye Melchior : A long road behind and a long road ahead


 
 On June 1st 1993, Melchior Ndadaye, a  member of  Hutu ethnic  was elected .  Later on, October 21st was savagely assassinated in a military coup, three months only, in the office  . From then onwards, political and socio-economic unrest causes a lot of suffering to Burundians.
Melchior Ndadaye

He  was born in 1953, in Muramvya Province, center of Burundi, a region in social and political conflict with the ruling south. He fled to Rwanda following the 1972 mass killings of hutu. The 1972 selective killings shape ndadaye’s vision on national policies.
Léonce  Ngendakumana, president of Front of democracy in Burundi (Frodebu), urges national and international forces to  double efforts  in ending  Ndadaye assassination trial, 20 years after his assassination.
To him all judged people were small solders and he is convinced they were not the real perpetrators.

The official truth on Ndadaye's murder still not yet known, but a UN investigation into it, the result of which was released in 1996, accused the army command of being responsible for the assassination and of being complicit in the resulting massacres by Tutsi troops. Pierre Buyoya, Ndadaye's predecessor as president, has long been suspected of having some role in the assassination.
Ndadaye‘s Political vision  
Ndadaye had become involved in politics while in neighboring Rwanda, serving as the inaugural president respectively of Bampere, (in French: Mouvement des Étudiants Progressistes Burundi), and UBU in French acronyms( partie des travailleurs du Burundi) a movement of exiled Burundians in Rwanda, according to former president Sylvestre Ntibantunganya.
In 1990, many African nations, as well as in Burundi, initiated multiparty democracies, Ndadaye’s party Frodebu registered as a legal political party in 1992, after six years of clandestine political struggle.
The vision of Ndadaye is summarized as follow  “ An  implementation of  a specific proactive policies leading to a specific programs aimed at integrating and promoting minority group: ethnic minorities, religious minorities, foreigner minorities, cultural minorities etc. Each people must enjoy and have a place under one's own national sky”.

An ordeal and assassination of Ndadaye by Tutsi army
Laurence Ndadaye, first lady, told us that  while her husband was back from an extraordinary minister’s council on 20th, October 1993, Bishop Alfred Ndoricimpa, in visit in Belgium called from Bruxelles asking about a rumored coup against  the power going out in Europe about the possible coup in Burundi.
However, this was not new to presidential couple as since June 1993 rumor of a possible coup was heard.
Following a warning call from Jean Bikomagu, the army commander in chief to the Republic president, the later try to get out from the palace, unfortunately it was very late.
“We were already encircled by mutineers soldiers who were so many that it was impossible to find any breach through which the president can ran away. We even try in vain, to dress up the president a military outfit like those of the men of his guard, but in vain, “witnesses Ndadaye’s wife
In the morning Mrs Ndadaye and her husband who spent all the night under palace bombing were freed from the palace and conducted in Muha Camp aboard an armored vehicle, and he died there.
Mrs.Ndadaye, her children and his holds house that were with Ndadayes were taken to France embassy in Bujumbura.
“Since,I had no more information about my husband. I only knew his death from Bishop Bernard Bududira two days later on Saturday” said Laurence Ndadaye.
President Ndadaye Melchior, according to Leonce Ngendakumana, has been killed strangled with a rope by two solders, following three hours of torture.
Ndadaye died together with his closes colleagues. Those are, president of National Assembly and his vice president, Home Affairs Ministers, Intelligence Chief and president Ntibantunganya’ s wife.
 

12 October 2013

Qui est Térence SINUNGURUZA ?


 
Térence Sinunguruza, cadre influent du parti UPRONA, a longtemps occupé les postes de ministre de la Justice et des Relations Extérieurs avant de devenir parlementaire.
Térence sinunguruza lâché, mais resiste
Il est né le 2 aout   1959 à Rutyazo, commune de Kayokwe dans la province de Mwaro. Fils de Rucintango, Sinunguruza Therence  est l’un  des hommes politique tutsi burundais.

Sinunguruza suit des études de droit à l'université du Burundi. Il fait une carrière dans la magistrature et est nommé vice-président de la Cour suprême du Burundi à la fin des années 1980.
Il préside la Commission électorale nationale indépendante (CENI), lors des premières élections pluralistes au Burundi en 1993, remportées par Melchior Ndadaye et son parti le FRODEBU. Il est nommé ambassadeur auprès de l'ONU à New York mais est rapidement rappelé à Bujumbura.

Sinunguruza est vite  nommé ministre des Réformes institutionnelles et des relations avec l’Assemblée nationale le 5 octobre 1994. Il est chargé, le 22 juillet 1996, par le président par intérim Sylvestre Ntibantunganya de proposer une solution de sortie à la crise qui règne dans la capitale. Pierre Buyoya prend le pouvoir lors d'un coup d'État le 25 juillet 1996 et dépose Ntibantunganya. Sinunguruza quitte le gouvernement le 2 août 1996 mais sera ensuite nommé ministre de la Justice et garde des sceaux de 1997 à 2001, puis ministre des affaires étrangères de 2001 à 2005.  Sinunguruza fut élis député  en province de Mwaro, sa province Natale jusque 2010.

Le 28 août 2010, il est nommé premier vice-président du Burundi en tant qu'élu du parti majoritaire tutsi  l'UPRONA.

Térence Sinunguruza est plurilingue et un grand fan  de basketball. Il est  marié à Odette Ndikumagenge  et est père de quatre enfant.
 
Térence Sinunguruza  : Toutes les occasions sont bonnes pour atteindre ses objectifs

L’ambassadeur Térence, selon ses proches, c'est un tutsi de Mwaro, pour lequel toutes les occasions sont bonnes pour atteindre ses objectifs. Selon nos  sources, si Térence vise un intérêt personnel, il fait tout pour l’avoir quitte même à trahir les idéaux de son parti et ses proches.
 De ce qui précède, par exemple, Burundi transparence invoque entre autre une femme, proche de SINUNGURUZA qui continuât à croupir en  prison bien que ce  poids lourd de l’Uprona disposerait   un immense pouvoir de la délivrer : « Ainsi, avec l'Ambassadeur Térence  Sinunguruza, pourtant très expérimenté sur le plan politique…. Même pour le cas d'une jeune mère de famille, acquittée dans une affaire judiciaire et remise directement en prison sous pression du chef de cabinet de la deuxième Vice-présidence de la République, l'Ambassadeur Térence Sinunguruza n'arrive pas encore à obtenir la libération de cette dame, toujours en prison, pour des infractions imaginaires. Un chef de cabinet de la deuxième Vice-présidence de la République peut-il imposer sa loi dans un domaine réservé à la première Vice-présidence de la République ?

Membre fervent d’un mouvement politico-religieux, et le chrétien de l'Eglise El Shaddai,  Térence sait faire fonctionner et utiliser les mythes sur l'origine ou l'avenir, la puissance et la valorisation. Il remplace aisément le prêtre d'antan comme intercesseur face aux puissances spirituelles et étatiques. Selon ses proches, la promesse est un horizon de sens primordial chez cet home et ce dernier est relativement  honnête .
Homme de tous les régimes Burundais,  Térence  est  un bon  pêcheur en eaux troubles, et, selon nos sources,   un meuilleur  connaisseur de l'âme humaine, car il a une capacité évidente  de conquérir la confiance de forces neuves en politique.

Toutefois Térence Sinunguruza n’est pas évoqué   dans les extremist Tutsi.  Un bon nageur entre deux eaux, mais  il n’est pas un moulin à paroles.  Présentement devenu  un arroseur arrosé, Térence sinunguruza doit avoir d’autres flèches  dans son carquois pour garder la tête hors de l’eau.  

8 October 2013

Violence sexuelle sur les enfants: Les grooms et les bonnes doivent être serieusement surveillé


Une fillette  de  cinq ans  violé par un garçon  de 18 ans, les parents devraient veuillez sur leurs grooms.

Nombreuse fillette sont sexuellement violées
Shadhia a été violée  lundi  7 octobre 2013 dans le salon de son père à Kamenge, quartier Heha  par un groom de sa famille.

 «  Je m’introduisais  dans la maison lorsque j’ai remarqué sur les vêtements et sur  les cuisses de Shadia des choses blanches». ND. Dative témoigne. La bonne  fait savoir que la fille violée  marchait  les jambés écartés et ses yeux donnaient l’impression qu’elle a fortement pleuré. Dative dit : J’ai vite noté que shadia serait victime d’une violence sexuelle car le présumé coupable avait l’habitude de jouer avec elle quand elle est  nue. Puis   j’aperçois  Lewis -le présumé coupable- sortir de la chambre». Elle a par la suite  appelé au secours les femmes voisines qui finalement ont confirmé que l’abus sexuel a bien eu lieu.

Le présume coupable conduit à la police, l’enfant a été confié au Centre Seruka. L’officier de police  judiciaire nous a révélé que de cas de viole sexuels sont très fréquent en commune  kamenge. Certains victime préfèrent même  garder la bouche cousue surtout les femmes publique.

Violence sexuels sur les enfants…mal de vivre

 Les parents devraient veiller que leurs enfants sont placés  dans les bonnes mains. Les boys et les bonnes sont parfois pointés du doigt dans  les violences sexuelles  envers les enfants. C’est pour cette raison que les parents doivent savoir déceler les symptômes physiques fortement suspects d’une agression sexuelle chez l’enfant.

 

Les violences sexuelles exercées contre les enfants ont de profondes répercussions à court et long terme sur leur santé physique, leur développement psychologique et leur bien-être psychosocial.  De l’arrivée à la maison en provenance  de  service  les parents devraient bien vérifier  leurs enfants.
Dans la majorité des cas (60 à 90% des cas selon les pays), la jeune victime connaît son agresseur (membre de sa famille ou personne jouissant de sa confiance telle qu’amis de la famille, voisins, connaissance, éducateurs, enseignants, religieux, etc.). Plus elle est jeune, plus la probabilité est élevée que l’auteur soit un membre de sa famille ou un proche (baby-sitter, nourrice, par exemple).


 

   

 

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25 September 2013

Tous les crimes commis au Burundi d’ampleur de génocides, de crimes de guerre et crimes contre l’humanité doivent être considérée de la même sorte


 Le 23 septembre  2013 Euduard Madirisha et Elyse   Ngabire  nous  rappellent  que  seul Agathon Rwasa serait coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Cependant, selon ces journalistes d’Iwacu «   lui-même-Rwasa- pointe du doigt le pouvoir actuel, notamment pour les massacres de Bugendana et de Buta.
Cette observation peut susciter plus d’une  vérité :
De prime  abord, les massacres de Bugendana, Buta, Gatumba I et II,… sont des crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. D’ailleurs, le Burundi ne recouvrira nullement la quiétude  si les auteurs de  crimes  ne seraient  pas poursuivis et traduit en justice. Pourtant, aux yeux de plus d’observateurs, les seuls  crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis par les leaders des ex-rebelles   sont vraisemblablement placardés.  Cependant, autres crimes de même calibre qui ont été répétitivement commis et dissimulés intentionnellement par certains haut gradés de la Force Armée Burundaise  (FAB 1994-2000) ne sont point  évoqués.  

 Voici les quelques exemples de violences de la FAB  sur les civils depuis le coup d’état de  juillet 1996 :
Un président de la République Melchior Ndadaye a été assassiné par son armé. Aucune poursuite judicaire n’est en cours selon Léonce Ngendakumana.
photo Burundi@213
A Kayanza, en date du 12 Décembre 1996 selon  la ligue Iteka, une organisation Burundaise de droit de l’homme, 114 personnes, dans une église pentecôte,  ont été sauvagement exterminés par la FAB. Les victimes étaient principalement des enfants et  des femmes.
Septembre 1996, plus d’une centaine des civils hutu ont été systématiquement fusillé par la FAB. Le même camp militaire, en février et Mars 1997 a descendu sur les collines et  a massacré entièrement les femmes, les hommes, et les enfants de la Commune Giheta en Province Gitega.
Un groupe qui se nommait SOS Génocide a établit une  liste et arrêté   211 personnes qui ont été par la suite massacré à coup de baïonnettes  à Giheta en févrie 1997. A Bugendana 141 hutu fut massacré dans un camp de regroupement.   

New York Times reproduit  le Lt.col Isaie  Nibizi qui acceptât  que  le 11 janvier 1997, 126 hutu qui retournaient de la Tanzanie ont été totalement massacré au bord du lac tanganyika à Nyanza-lac et Kigwena.
A Bubanza en 1997  des civils innocents ont été inopinément accueilli par une fusillade  au Marché. Plus de 500 personnes ont trouvé la mort,selon l'association des familles des rescapés. La listes est longue et tous ces crimes de guerres et crimes contre l’humanité ont été commis entre  février 1966- avril 1997. Les concepteurs de ces crimes sont tous là et ils ne sont pas inquiétés. Tous les crimes  commis au Burundi d’ampleur de génocides, de crimes de guerre et crimes contre l’humanité doivent être médiatisés , connus et considérée de la même sorte indistinctement de l’auteur, de l’ethnie , d’origine, du poste , du temps et espace. 
Certains traîtres ont une étonnante faculté de se convaincre eux-mêmes de la sainteté de leurs intentions…

Pierre Nkurunziza et Agathon Rwasa s’entre- accusent aujourd’hui. Qui tirerait le premier l’oreille de l’autre ? Semble-t-il que tous seraient  des parricides comme les FAB. Ce qui est plus surprenant, c’est qu’ils oublient qu’un jour les deux étaient des chefs rebelle. Notez bien, dans le maquis pour absolument une même cause. Oh ! Courte mémoire.  La même cause  est –elle aujourd’hui la même ? Des illusions. Hélas ! Qu’est ce qui les arrivent mon Dieu ! Si Pierre Nkurunziza réussirait  à mettre en prison Agathon Rwasa, il aurait ouvert la porte aux parables et justices internationales. Un message  de   Me Rufyikiri est evident : « Tous ceux qui étaient couverts par l’immunité peuvent aujourd’hui indistinctement être poursuivis partout où le droit burundais donne compétence aux juridictions pénales ».

Il est répété « Peuvent indistinctement être poursuivi » alors que certains crimes de hauts calibre ne sont pas jusqu’ici  connu, les crimes contre  surtout ceux de ceux qu’ils( Peter et Rwasa) disaient  « lutter pour ».

En fin, Pierre Nkurunziza et Agathon, les deux leaders de deux groupes rebelles, tous originaire de Ngozi sont des chefs  toujours en retard sur les idées de consensus. William Godwin nous éclaire  « Les hommes de génie doivent se manifester pour analyser la machine de la société, pour démontrer comment ses différentes parties sont reliées entre elles et pour en trouver les défauts et les solutions. C’est seulement ainsi que les grandes réformes peuvent être produites ». Et  Denis Diderot lui admet que  le consentement des hommes réunis en société est le fondement du pouvoir.

Lalalalala, le printemps est là. Et moi, petite fleur, je n’ai rien d’intéressant à dire.

3 September 2013

Foire de photos des Imbonerakure de NYABIKERE à KARUZI




We Wish to Inform You that Tomorrow we Will be Killed With our Family” (Nous souhaitons vous informer que nous serons tué Demain avec nos familles).
Semer la terreur haut de game
C’est le titre d’un roman de Phillip Gonrevicth (2007) qui relate avec amertumes les massacres du Rwanda. Les massacres, il faut le répéter qui a coûté la vie de  plusieurs millions des rwandais.  Une maxime Kirundi clache la réalité: « Wewe igihe urwanda rwaterwa umutima ntiwasimvye? »(Lorsque le Rwanda fut attaqué  tu n’as pas eu peur?).
Une équipe  rejoignent une autre sur le lieu de la Réunion 

En date du 31 Août et 1er septembre 2013 le parti Sahwanya Frodebu avait organisé une réunion à l’intention de ses membres en province Karuzi.
Ils passaient de maison en maison 
La réunion était reconnu par l’autorité provinciale et communale pourtant les jeunes proches du parti CNDDD-FDD «  imbonerakure » ont juré terre et ciel que la réunion ne peut point être tenue » Ils ont sème la terreur et le désordre en complicité avec l’administration de la base.
ils chantent les chanson du pari au Pouvoir
Avec ces images qui contredirait cette triste réalité : Les imbonerakure du Burundi  ne sont pas différents des Interahamwe du Rwanda.
Avec des goudins et de machettes
Bamvuginyumvira Fréderic, ancien vice-président de la République  du Burundi,  a eu du mal à saisir  ce qui se passait dans le tourbillon de confusion que cette milice faisait pluvioter et   entretenait sous les instructions  de l’administration  de Nyabikere.

30 August 2013

Et si le CNDD-FDD distinguerait les vrais membres et les faux membres, serait-t- elle un meuilleure stratégie d'eviter les dissensions interne?



Sur son mur  facebook, Mjr Muhiza  https://www.facebook.com/ a supplié les internautes “ninde yoba yarabitse aka kantu?”(Qui aurait bien conservé  cette petite chose), la question semble bête, mais elle regorge  une  centaine de non dits.

carte de membre d'un Mugumyabanga vrai
La petite chose que Mjr Muhiza fait allusion c’est la carte de membres du parti CNDD-FDD. Celle-ci  n’est plus octroyée aux nouveaux Bagumyabanga qui l’intègrent, depuis que le mouvement CNDD-FDD est devenu un parti politique à part entière.
  Jean Marie Nkurikiye qui a intégré le parti CNDD-FDD, il y a plus d’une année affirme : « No, la carte de membre  n’est  pas actuellement  offerte ».  Il ajoute que  les nouveaux adhérant sont simplement inscrits au niveau  d’  « Inama Nshingiro »  (conseil de base/ collinaire). Personnellement, persiste  Nkurikiye   « Moi, je me suis aperçu ne pas octroyé cette carte quand j'ai été accueilli , de même, les autres qui m’ont suivi ne possèdent pas  la carte d'un Bagumyabanga» Ce haut cadre de l’Etat, qui a quitté le parti Sahwanya Frodebu, pense que l’inscription au niveau du  conseil de base a remplacée  l’octroi de la carte de membres car, selon lui, tous les membres  d’inama nshingiro se reconnaissent facilement  que l’octroi de la carte n’a pas la raison d’être.

Léonce Mpitabakana lui, ne décore pas «  les Bagumyabanga sont tellement nombreux qu’ils ne peuvent pas obtenir   tous leurs personnel carte de membre ».  Il  confirme à tout fait utile que le CNDD-FDD ne s’inquiète de rien, de tant plus qu’il  régnera trente ans. Il dit : «  Seul les partis coquille sont obligés d’octroyer les cartes de membres ».  

Vrai membre du CNDD-FDD ou un passif observateur ?

Un vrai membre du parti a sa propre  carte de membre ou doit se vendre  sur le terrain de football, puis le CNDD-FDD a vraisemblablement ses propres et  véritables membres. Ces derniers ont pourtant leurs cartes de membres. Ils  ont obtenu  la carte  d’un Mugunyabanga  lorsque le CNDD-FDD était au maquis.  Nyambeho Sophonie lui, a deux cartes de membres. Il fait savoir : « l’une est pour ma femme et l’autre  est la mienne »   Il dit que lorsque le CNDD-FDD était au maquis nous avions l’habitude de contribuer. Ça nous faisait plaisir d’aider nos filles et fils qui étaient  au maquis, et d’ailleurs c’était pour nous l’occasion de remettre la carte du parti Frodebu, et de recevoir  la nouvelle carte. Insinue –t-il.  Selon ce quinquagénaire, il  pouvait lire simplement sur la carte  «  ingabo zigwanira demokarasi »  (Combattants  de la démocratie). Ce sont sans doute ces derniers vraies bagumyabanga.

De l’autre côté , les passifs  observateur, eux n’ont aucun droit sauf celui  de hausser la tête verticalement en face des décisions soigneusement arrêtées par les détenteurs de la carte de membres. «  Chez nous – au niveau du CNDD-FDD- ont nous amène les noms et prénoms des candidats ou bien des mesures prises,  nous ne faisons qu’applaudir pour les adopter». Informe,  sous couvert d’anonymat un candidat malheureux  à la présidence du groupe de front de l’OBR. Pour lui, les élections n’ont pas de place au sein du parti de  Pascal Nyabenda. Les décisions sont toujours d’en haut.

Ubuvugarimwe désire demander les politologues si une telle méthodologie de diriger un parti démocrate colle bien avec la consolidation d’un état de droit et de liberté.  

26 August 2013

Université du Burundi : La Fraternité des Etudiants de Rumuri (FER), devient la Frénésie de l’Etudiant Rancuneux



L’Université du Burundi est en pleine dissensions après l’introduction du nouveau système dit Bachelier-Maitrise-Doctorat (BMD), de nombreux   signes  montrent que la fraternité au sein des étudiants est en périr.
Les tensions ont monté d’un clan depuis que plus de trois mille étudiants de 1er et 2eme  années BAC assiègent http://www.rpa.bi/spip.php?article    le bureau de l’ombudsman Burundais, pendant  deux jours et  deux nuits. Les étudiants à l’Université du Burundi sont divisés, égarés et désorientés. Epitace  Ndayambaje  le représentant de ces étudiants  accuse : « La FER -association de tous les étudiants de  l’Université du Burundi- est incompétente, elle fait la sourde oreille devant des crismortuaires que poussent les étudiants de 1er et 2eme  année BAC ». Selon lui, la FER ne se contente que de l’intérêt propre du parti au pouvoir.  Erenest Nzambimana, le Président de la  FER  est totalement absent devant les énormes difficultés que  les étudiants de  bac encourent. Pour preuve, Ndayambaje ronger son frein" « le président de la FER ne connait aucun article du règlement académique relatif au nouveau système». Donc, continue –t-il, aucune raison pour noud de recourir à son intervention  depuis qu’il nous a livré au diable. Il nous accuse d’être brutaux et intransigeants.    Tout en niant qu’il ne connait pas les mobiles du comportement que le président de la  FER affiche, Ndayambaje  laisse savoir qu’ils ne se  retireront  jamais de l’association FER, car selon lui « ils hériterons de cette association l’année prochaine en bon et dû forme  ».

Contacter par téléphone Nzambimana n’a pas  pu décrocher pour nous répondre.

          F.E.R : Un ours mal léché 

La Fraternité des Etudiants de Rumuri est taillé à la seule détermination du CNDDD-FDD. Selon Clément Nkurunziza un étudiant de la deuxième année à L’UB, Ernest Nzambimana est une marionnette du parti. Il a un comité consultatif  privé constitué  des imbonerakure. La destiné de toute la communauté universitaire est à la main de ce comité et du parti au pouvoir. Gasito Hakiza lui-même -recteur de l’université du Burundi- travail sous l’œil vigilant  des sieurs Imbonerakure.

 Selon http://www.burundi-info.com , l’ancien Associations des Etudiants de Rumuri (ASSER) ne roulait  pour  le pouvoir. Selon Mbonabuca Arcade, un jeune activiste du parti CNDD FDD  de l’époque, « L’ASSER servait les intérêts des tutsis, elle n’avait autre agenda que de miner l’action du chef de l’état».Pour lui, l’UB  était devenu comme un Etat  dans un d’un autre Etat. Et d’ailleurs : «  l’Asser est une organisation qui a bel et bien planifié, et perpétré les massacres d’une centaine  de Hutu en  1995 » culpabilise Mbonabuca.  Ce dernier martèle que «   La F.E.R  est, et sera, bon gré et malgré  présidé  par un hutu ».http://www.iwacu-burundi.org/index.php/conséquences

Qu’est ce que les étudiants innocent peuvent attendre au président de la F.E.R ?

Sans aucun doute, lorsqu’ un représentant d’une telle institution est choisit sur de critères ethno-politico- régionale, l’institution ne fait que devenir    un ethnocide.
Chaque fois que les élections sont organisées  à l’Université du Burundi, les consultations propagandistes sont extrêmement  ethnicisées et politisées.  Les étudiants tombent régulièrement  dans ce piège lui tendu par le pouvoir. Au terme  des élections au sein de l’UB, les étudiants sont toujours abasourdis par la victoire d’un Imbonerakure à excès de zèle, malgré les efforts fournis pour l’éviter.  Selon Ntakirutimana,  l’odeur pana DDiste et hutiste  pèsent lourdement  dans les entrailles de l’Université Officielle de Bujumbura. Pour lui, la courte vision de certains étudiants occulte la clairvoyance  des méticuleux, et  leur empêche d’estimer  la conséquence d’avoir un leader marionnette. Il nous  fait comprendre « Car un mauvais leader n’a pas d’ethnie ni parti » Aussi longtemps que les étudiants éliront   un piège, ils seront  incessamment présidés par   les gaz lacrymogènes, des renvois, de la pauvreté et la brouille entre eux.