L’Université du Burundi est en
pleine dissensions après l’introduction du nouveau système
dit Bachelier-Maitrise-Doctorat (BMD), de nombreux signes montrent que la fraternité au sein des
étudiants est en périr.
Les tensions ont monté d’un
clan depuis que plus de trois mille étudiants de 1er et 2eme
années BAC assiègent http://www.rpa.bi/spip.php?article le bureau de l’ombudsman Burundais, pendant deux jours et deux nuits. Les étudiants à l’Université du
Burundi sont divisés, égarés et désorientés. Epitace Ndayambaje le représentant de ces étudiants accuse : « La FER -association de
tous les étudiants de l’Université du
Burundi- est incompétente, elle fait la sourde oreille devant des crismortuaires
que poussent les étudiants de 1er et 2eme année BAC ». Selon lui, la FER ne se
contente que de l’intérêt propre du parti au pouvoir. Erenest Nzambimana, le Président de la FER est
totalement absent devant les énormes difficultés que les étudiants de bac encourent. Pour preuve, Ndayambaje ronger
son frein" « le président de la FER ne connait aucun article du règlement académique relatif au nouveau système». Donc, continue
–t-il, aucune raison pour noud de recourir à son intervention depuis qu’il nous a livré au diable. Il nous
accuse d’être brutaux et intransigeants. Tout en
niant qu’il ne connait pas les mobiles du comportement que le président de la FER affiche, Ndayambaje laisse savoir qu’ils ne se retireront jamais de l’association FER, car selon lui
« ils hériterons de cette association l’année prochaine en bon et dû forme
».
Contacter par téléphone Nzambimana n’a pas pu décrocher pour nous répondre.
F.E.R : Un ours mal léché
La Fraternité des Etudiants de
Rumuri est taillé à la seule détermination du CNDDD-FDD. Selon Clément
Nkurunziza un étudiant de la deuxième année à L’UB, Ernest Nzambimana est une
marionnette du parti. Il a un comité consultatif privé constitué des imbonerakure. La destiné de toute la
communauté universitaire est à la main de ce comité et du parti au pouvoir.
Gasito Hakiza lui-même -recteur de l’université du Burundi- travail sous l’œil
vigilant des sieurs Imbonerakure.
Selon http://www.burundi-info.com ,
l’ancien Associations des Etudiants de Rumuri (ASSER) ne roulait pour
le pouvoir. Selon Mbonabuca Arcade, un jeune activiste du parti CNDD
FDD de l’époque, « L’ASSER servait
les intérêts des tutsis, elle n’avait autre agenda que de miner l’action du chef
de l’état».Pour lui, l’UB était devenu comme
un Etat dans un d’un autre Etat. Et
d’ailleurs : « l’Asser est une organisation qui a bel et bien planifié,
et perpétré les massacres d’une centaine
de Hutu en 1995 »
culpabilise Mbonabuca. Ce dernier
martèle que « La F.E.R est, et sera, bon gré et malgré présidé
par un hutu ».http://www.iwacu-burundi.org/index.php/conséquences
Qu’est ce que les étudiants innocent peuvent attendre au président de la F.E.R ?
Sans aucun doute, lorsqu’ un
représentant d’une telle institution est choisit sur de critères ethno-politico-
régionale, l’institution ne fait que devenir un ethnocide.
Chaque fois que les élections sont organisées à l’Université du Burundi, les consultations propagandistes sont extrêmement ethnicisées et politisées. Les étudiants tombent régulièrement dans ce piège lui tendu par le pouvoir. Au terme des élections au sein de l’UB, les étudiants sont toujours abasourdis par la victoire d’un Imbonerakure à excès de zèle, malgré les efforts fournis pour l’éviter. Selon Ntakirutimana, l’odeur pana DDiste et hutiste pèsent lourdement dans les entrailles de l’Université Officielle de Bujumbura. Pour lui, la courte vision de certains étudiants occulte la clairvoyance des méticuleux, et leur empêche d’estimer la conséquence d’avoir un leader marionnette. Il nous fait comprendre « Car un mauvais leader n’a pas d’ethnie ni parti » Aussi longtemps que les étudiants éliront un piège, ils seront incessamment présidés par les gaz lacrymogènes, des renvois, de la pauvreté et la brouille entre eux.
Chaque fois que les élections sont organisées à l’Université du Burundi, les consultations propagandistes sont extrêmement ethnicisées et politisées. Les étudiants tombent régulièrement dans ce piège lui tendu par le pouvoir. Au terme des élections au sein de l’UB, les étudiants sont toujours abasourdis par la victoire d’un Imbonerakure à excès de zèle, malgré les efforts fournis pour l’éviter. Selon Ntakirutimana, l’odeur pana DDiste et hutiste pèsent lourdement dans les entrailles de l’Université Officielle de Bujumbura. Pour lui, la courte vision de certains étudiants occulte la clairvoyance des méticuleux, et leur empêche d’estimer la conséquence d’avoir un leader marionnette. Il nous fait comprendre « Car un mauvais leader n’a pas d’ethnie ni parti » Aussi longtemps que les étudiants éliront un piège, ils seront incessamment présidés par les gaz lacrymogènes, des renvois, de la pauvreté et la brouille entre eux.
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