8 October 2013

Violence sexuelle sur les enfants: Les grooms et les bonnes doivent être serieusement surveillé


Une fillette  de  cinq ans  violé par un garçon  de 18 ans, les parents devraient veuillez sur leurs grooms.

Nombreuse fillette sont sexuellement violées
Shadhia a été violée  lundi  7 octobre 2013 dans le salon de son père à Kamenge, quartier Heha  par un groom de sa famille.

 «  Je m’introduisais  dans la maison lorsque j’ai remarqué sur les vêtements et sur  les cuisses de Shadia des choses blanches». ND. Dative témoigne. La bonne  fait savoir que la fille violée  marchait  les jambés écartés et ses yeux donnaient l’impression qu’elle a fortement pleuré. Dative dit : J’ai vite noté que shadia serait victime d’une violence sexuelle car le présumé coupable avait l’habitude de jouer avec elle quand elle est  nue. Puis   j’aperçois  Lewis -le présumé coupable- sortir de la chambre». Elle a par la suite  appelé au secours les femmes voisines qui finalement ont confirmé que l’abus sexuel a bien eu lieu.

Le présume coupable conduit à la police, l’enfant a été confié au Centre Seruka. L’officier de police  judiciaire nous a révélé que de cas de viole sexuels sont très fréquent en commune  kamenge. Certains victime préfèrent même  garder la bouche cousue surtout les femmes publique.

Violence sexuels sur les enfants…mal de vivre

 Les parents devraient veiller que leurs enfants sont placés  dans les bonnes mains. Les boys et les bonnes sont parfois pointés du doigt dans  les violences sexuelles  envers les enfants. C’est pour cette raison que les parents doivent savoir déceler les symptômes physiques fortement suspects d’une agression sexuelle chez l’enfant.

 

Les violences sexuelles exercées contre les enfants ont de profondes répercussions à court et long terme sur leur santé physique, leur développement psychologique et leur bien-être psychosocial.  De l’arrivée à la maison en provenance  de  service  les parents devraient bien vérifier  leurs enfants.
Dans la majorité des cas (60 à 90% des cas selon les pays), la jeune victime connaît son agresseur (membre de sa famille ou personne jouissant de sa confiance telle qu’amis de la famille, voisins, connaissance, éducateurs, enseignants, religieux, etc.). Plus elle est jeune, plus la probabilité est élevée que l’auteur soit un membre de sa famille ou un proche (baby-sitter, nourrice, par exemple).


 

   

 

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