26 March 2014

Nous vivons sous un prince ennemi , il est bien logé au palais de l’hémicycle de Kigobe: La fraude électorale



Après les assises de Kigobe en décembre 2014
Les tentatives de fraudes que plus d’un a remarqué lors de l’analyse et le rejet du projet de la constitution  , ce 22 Mars 2014, une nouvelle constitution  qui avait pour objectif d’accorder un 3e mandat à Pierre Nkurunziza, à l’hémicycle de Kigobecertifient  à suffisance que la tenue d’un scrutin crédible, transparent et paisible reste  un  truc difficile  au Burundi.
Il est vraiment évident,  dénombrer les  soixante dix sept députés qui siégeaient dans le palais de Kigobe est un exercice facile. Pourtant, un cadre à l’Assemblé National du Burundi a commis plus d'erreur en livrant  un  nombre erroné de députés présents. 

 Erreur ou pas, seul le Président fondateur peut répondre.  S’il  s’agissait  d’erreur, c' est celle de la malveillance qui, absolument  avait autres visés. Personne  ne doute pas, il fallait chercher une formule  de  faire passer la nouvelle constitution. La fraude était la seule formule sur la table.

Pour ce faire, les grandes techniques de la fraude électorale émergent de plus en plus aux yeux du monde mais nos braves politiciens semblent ne pas être là. Le recensement biaisé à l’Assemblée Nationale  constitue un exemple  d’un système de fraude électorale. 

Quelques jours avant, le président du groupe parlementaire CNDD-FDD a  bel et bien informé l’opinion que le CNDD-FDD a déjà 86 députés, et  que par conséquent la nouvelle constitution passera sans problème . Celui qui a procédé  au dénombrement  de députés présents, ce jour là  a gardé en tête le chiffre préétablit.   Cette manière de rendre disponible  les électeurs sur base de chiffres concoctés d’avance fait parti de fraude électorale.
 
De surcroît, avant  une réunion plénière, les députés de l’Uprona et de Sahwanya Frodebu Nyakuri ont été, l’un après l’autre cibles  d’une   corruption notoire, ensuite victime des actes de terrorisme comme le révèle le député  Nditije Charles. 

De tous ce  qui précède, Buvugarimwe souhaite lancer un appel ardent à tous les forces nationales et internationales d’être plus regardant  avant, pendant et après les élections Générale, aujourd'hui, plus qu'hier . celà se prépare bien avant  Les techniques de fraudes électorales sont  tellement nombreuses et ils sont déjà à l’œuvre.  Au Togo vingt cinq techniques et stratégies de fraudes électorales ont été identifiés  
 
Aux politiciens de l’opposition, prenez vos gardes, car le regret est une seconde erreur. Encadrer vos jeunes gens en le réadaptant aux techniques de barrer la route aux tricheurs. 
En 2015 les burundais vont voter. Mais en attendant, il sied de revenir sur les stratégies de fraudes qui ont souvent mis en péril la vérité des urnes. Ici, nous reprenons la liste publiée par Honorable Léonard Nyangoma en 2008
                                                                           

                                                                     NIKIZA Georges


                                                                                                    

18 February 2014

Pourquoi nos politiciens de l'opposition politique ne veulent pas gagner les élections?




Ministre de l'intérieur
Si Nduwimana Eduard, Ministre de l'intérieur ne  favorise pas la réunification , les  leaders politiques de l'opposition au Burundi,  ne veulent point qu'on  en parle. c'est ainsi que Sahwanya Frodebu de Melchior Ndadaye, Force de  libération Nationale (FNL) de Gahutu Remy et l’Uprona du Prince Louis Rwagasore sont des partis politique historique qui sont  pourtant  tous en blessures et en  décombres. Les causent de l’échec de  leur réunification/fusion ou unification ne sont pas  nombreuses. 

Des voix insistantes, impatientes et de fois  menaçantes au sein des militants respectifs de ces partis,  réclament la réunification de  leur parti en morceau. Pourtant, les présidents de certains de ces partis en déchirure, préfèrent diaboliser, suspendre ou exclure les militants en faveur de la réunification.    Fatigué, à chaque nouvelle phase d’affrontement entre les ailes, qui se réclament malheureusement héritier d’un des héros ci haut repris ,   l’un accuse l’autre  d’être à la solde du CNDD-FDD, parti au pouvoir, et l'autre   d’être un renégat ou vis versa.  
 Les  membres et les  sympathisants ne sauront jamais la vérité, et où il faut chercher les raisons qui font  que l’amitié des anciens compagnons de lutte et de sang a basculé et s’est  transformé en blessure et en  haine. L'evidence est que ces partis politiques ne savent ni gérer les conflits, ni admettre les différences. 
Rwasa Agathon
Ce qui est certain, la destruction d’un parti politique est facile lorsque l’égoïsme, la légèreté et le manque d’orientation  de l’esprit d’un  leader  donnent des primes d'encouragement à la calomnie.  

Unifier deux Sahwanya Frodebu : le Président c'est Moi ou personne …

Président du parti Frodebu
Léonce Ngendakumana  le président du parti Sahwanya Frodebu ne cache pas son point de vue quant à la réunification de deux Sahwanya Frodebu. Pour lui,  les  réunifier, ou les unifier revient ni moins ni plus à   ensevelir sahwanya Frodebu, dont il préside. « C’est Léonce qui est reste derrière le parti les autres sont des traitres », dit un militant proches de Bakame. Sans-doute, toutes initiatives  qui visent  au  rapprochement de deux Frodebu, elles  sont  interprétées comme commanditées et téléguidées par  Nduwimana Eduard, considéré comme un  bulldozer contre certains  partis politiques au Burundi. Tout en considérant que Ngendakumana est le seul bonhomme capable de faire revenir le Frodebu au pouvoir, les léoncistes   accusent Dr Jean Minani d’être une marionnette innée du parti CNDD-FDD. Tandis que,  celui-ci accuse Léonce Ngendakumana de menteur, d’un négativiste par excellence, d’être un  spécialiste de compromis boiteux et  finalement incapable d’enclencher une lueur d’évolution quoi que ce  soit.
le duo Dr Minani( débout) Ngendakumana (assis)
Pourtant les membres de deux Sahwanya Frodebu ne cessent d’appeler les deux héritiers du parti d’user de leurs consciences  et d’en finir avec les guerres intestines.
  Les deux sahwanya Frodebu séparés  promettent une victoire écrasante en 2015 à ses militants respectifs. " si le savoir peut créer des problèmes , ce n'est pas l'ignorance qui les résoudra", dit Isaac Asimov , dans l'Univers de la Science
 Agathon Rwasa contre Jacques Bigirimana : des pretextes pour refuser….

Jacques Bigirimana ne cessait de convaincre les naïfs quand Rwasa était en exile. selon lui, lorsque Rwasa  réapparaitra    le FNL lui appartiendra  de plein droit. déclara Miburo a Isale en Bujumbura Rural. Seuls les membres de FNL savent la saveur de la trahison quand Rwasa a quitté la clandestinité.
Bigirimana accuse Rwasa de totalitaire, de rébellion, et de renégat et plus mordant. Rwasa quant à lui, ne mâche pas les mots : «  Jacques Bigirimana est une Imbonerakure (jeunes du parti CNDD-FDD). 
Bigirimana et emmanuel
Comme les deux Frodebu, les deux FNL promettent la pluie et le soleil en 2015. 
  Les deux FNL épargnent sur les besoins de chaque jour, tout en prévoyant d'événements qui n'arrivent jamais. Ils ne  céder pas au petit ennui d'aujourd'hui, sous prétexte de se réserver pour le grand combat qui arrivera peut-être demain. Le peuple derrière ces chicaneries , il est miserable et obligé de se vouer à la tyrannie du parti état , selon les propos de ce même opposition.
Uprona : Réunification qui conduit à l’éclatement

Après que Nditije Charles ait opérer une réunification au sein de l’Uprona – et contrairement à Léonce Ngendakumana et jacque Bigirimana- Une certaine Concilie Nibigira , est  venue de  nul et de  partout ,  s’est arroger le droit que seul le comité central du parti possède. Il a destitué Ndidije le vaillant. L’uprona revient à la période de Mukasi Charles. La suite … seule Dieu connait.

Oui à la réunification, mais je  reste chef ….

Tout le monde souhaite la réunification, mais personnes ne veut pas la réaliser. Nos politiciens sidèrent tous le monde en parole, mais pas en action.  Ils veulent que le mouvement de la réunification tourne en  leur faveur,  tout en  restant à la tête d’un parti réunifier. La notion  de gagnant –gagnant est devenue  tabou.

 Pour eux,  il est beaucoup préférable d'être associé avec le peu de gens qui ont raison selon eux  qu'avec la foule qui a tort. Ils  oublient que  le compromis effectif  est toujours gagnant en fin de compte

Chacun de nos leaders a tissé des justifications mensongères et   échappatoires lorsqu’il s’agit de s’exprimer pourquoi  la  réunification de sa  formation politique a avorté.    
De tout ce qui précède, la volonté politique biaisée de réunifier les partis en morceaux  démontre à suffisance que nos leaders  de l’opposition se sont fait  piqué par un moustique d’égoïsme. c'est pour cette raison que nos partis politiques de l’opposition meurent  d'asphyxie dans leur  égoïsme prudent et vil.  L’intolérance, la haine, la gabegie  font toujours tombé nos courageux chefs d’opposition dans un  passé qui ne passe pas.
 Protéger narcissiquement leurs ailes   contre un débat réunificateur, ils prêtent directement   un soutien le plus ferme au  CNDD-FDD. 
 La politique est l'égoïsme des grands, mais il est temps de sauver la nation  en accélérant  le processus de réunification des partis en ailes ; car le Burundi n’existe pas sans FNL, Sahwanya FRODEBU, et l’Uprona tous réunifiés.

14 February 2014

Nibigira Concilie: une femme combattante et Rancunière



                                           Qui est Nibigira Concilie ?
Madame Concilie NIBIGIRA est née à Kiganda, le 28 Septembre 1955, en province de Muramvya. Elle est mariée et mère de quatre enfants. D’un père hutu et d’une mère tutsi, elle  est reporté par ses camarades  comme indomptable.
Madame Concilie Nibigira
Jusqu’au  janvier 2008 à ce jour, elle poursuit ses études en maîtrise MBA en Gestion à l’Université Lumière de Bujumbura.
De 1976 à 1980, elle a fait ses études universitaires à l’Université du Burundi, Faculté des Sciences Economiques et Administratives, section : Gestion et Administration, ceci lui a permis d’obtenir un diplôme de Licence en Sciences Economiques et Administratives, diplôme entériné le 18 juillet 1981.
Elle a fréquenté le Lycée « Etoile des Montagnes d’Ijenda » de 1969 à 1976, en poursuivant ses études secondaires dans la section des Lettres Modernes, clôturées par un Diplôme des Humanités Complètes. De 1962 à 1969, elle faisait ses études Primaires à Kiganda.
De Mai 1998 à Mai 2000, Madame Concilie NIBIGIRA était la Coordinatrice Nationale des activités du Collectif des Associations et ONG Féminines du Burundi, CAFOB.
De Janvier 1993 à Avril 1998, Madame Concilie NIBIGIRA était Directrice Exécutive de l’Association pour la Promotion Economique de la Femme, A.P.E.F, en charge de :
De Janvier 1991 à Décembre 1992, elle était Attachée de Recherche au Centre Universitaire de Recherche pour le Développement Economique et Social, CURDES.
De Octobre 1980 à Décembre 1990 : Professeur – Assistant à la Faculté des Sciences Economiques et Administratives. Cours assistés ou assurés :

Un instrument de ceux qu'elle appelait jadis Groupe des Tribalo-Terroriste Génocidaires.

Umutingingwa  une extrémiste  rancuneuse  NIBIGIRA fait parti de ceux qui ne digèrent point les organisations Hutu. NIBIGIRA Concilie elle, femme battante, ce n’est pas uniquement dans le politique-politique qu’on la connaît. Elle  ne perd jamais son temps, elle perd celui des autres.
Nibigira , c’est cette Dame qui, malgré le manque de support familial, régional, ethnique,…, s’est retrouvée à la tête de l’UFB (Union des Femmes Burundaises), affiliée à l’UPRONA après les aboutissants de La Baule, 1992.
Economiste de formation et ancienne enseignant à l’université du Burundi, elle se retrouve maintenant dans des auditoires d’une des universités du Burundi, pour une Maîtrise, en cours du soir. N’est-ce pas que les autres Burundaises diraient, « avec mon expérience politique, administrative, mère d’enfants,…, à quoi bon aller user ma robe sur ces bancs de l’université ? »
NIBIGIRA Concilie, elle n’a pas hésité/eu peur de mener une lutte politique contre celui d’un de ses frères, plutôt FRODEBU en 1993. Pourtant, celui-ci l’a même convaincu de fuir le Burundi comme il l’avait fait, après que ses affaires aient été saccagées à Bujumbura. Concile est aussi cette femme qui s’est retrouvée dans les cachots de Mpimba, emprisonnée par le pouvoir de fin les années 1990. Elle était d’une grande influence politique au sein de l’aile indomptable de l’UPRONA. Et intraitable qu’elle est, il fallait la coffrer, l’ « accusant de rage »,  Donc, elle aura vu et su au sein de l’UPRONA et de la politique du Burundi en général

Source: http://grandslacsafrique.unblog.fr