22 October 2013

who killed Ndadaye Melchior : A long road behind and a long road ahead


 
 On June 1st 1993, Melchior Ndadaye, a  member of  Hutu ethnic  was elected .  Later on, October 21st was savagely assassinated in a military coup, three months only, in the office  . From then onwards, political and socio-economic unrest causes a lot of suffering to Burundians.
Melchior Ndadaye

He  was born in 1953, in Muramvya Province, center of Burundi, a region in social and political conflict with the ruling south. He fled to Rwanda following the 1972 mass killings of hutu. The 1972 selective killings shape ndadaye’s vision on national policies.
Léonce  Ngendakumana, president of Front of democracy in Burundi (Frodebu), urges national and international forces to  double efforts  in ending  Ndadaye assassination trial, 20 years after his assassination.
To him all judged people were small solders and he is convinced they were not the real perpetrators.

The official truth on Ndadaye's murder still not yet known, but a UN investigation into it, the result of which was released in 1996, accused the army command of being responsible for the assassination and of being complicit in the resulting massacres by Tutsi troops. Pierre Buyoya, Ndadaye's predecessor as president, has long been suspected of having some role in the assassination.
Ndadaye‘s Political vision  
Ndadaye had become involved in politics while in neighboring Rwanda, serving as the inaugural president respectively of Bampere, (in French: Mouvement des Étudiants Progressistes Burundi), and UBU in French acronyms( partie des travailleurs du Burundi) a movement of exiled Burundians in Rwanda, according to former president Sylvestre Ntibantunganya.
In 1990, many African nations, as well as in Burundi, initiated multiparty democracies, Ndadaye’s party Frodebu registered as a legal political party in 1992, after six years of clandestine political struggle.
The vision of Ndadaye is summarized as follow  “ An  implementation of  a specific proactive policies leading to a specific programs aimed at integrating and promoting minority group: ethnic minorities, religious minorities, foreigner minorities, cultural minorities etc. Each people must enjoy and have a place under one's own national sky”.

An ordeal and assassination of Ndadaye by Tutsi army
Laurence Ndadaye, first lady, told us that  while her husband was back from an extraordinary minister’s council on 20th, October 1993, Bishop Alfred Ndoricimpa, in visit in Belgium called from Bruxelles asking about a rumored coup against  the power going out in Europe about the possible coup in Burundi.
However, this was not new to presidential couple as since June 1993 rumor of a possible coup was heard.
Following a warning call from Jean Bikomagu, the army commander in chief to the Republic president, the later try to get out from the palace, unfortunately it was very late.
“We were already encircled by mutineers soldiers who were so many that it was impossible to find any breach through which the president can ran away. We even try in vain, to dress up the president a military outfit like those of the men of his guard, but in vain, “witnesses Ndadaye’s wife
In the morning Mrs Ndadaye and her husband who spent all the night under palace bombing were freed from the palace and conducted in Muha Camp aboard an armored vehicle, and he died there.
Mrs.Ndadaye, her children and his holds house that were with Ndadayes were taken to France embassy in Bujumbura.
“Since,I had no more information about my husband. I only knew his death from Bishop Bernard Bududira two days later on Saturday” said Laurence Ndadaye.
President Ndadaye Melchior, according to Leonce Ngendakumana, has been killed strangled with a rope by two solders, following three hours of torture.
Ndadaye died together with his closes colleagues. Those are, president of National Assembly and his vice president, Home Affairs Ministers, Intelligence Chief and president Ntibantunganya’ s wife.
 

12 October 2013

Qui est Térence SINUNGURUZA ?


 
Térence Sinunguruza, cadre influent du parti UPRONA, a longtemps occupé les postes de ministre de la Justice et des Relations Extérieurs avant de devenir parlementaire.
Térence sinunguruza lâché, mais resiste
Il est né le 2 aout   1959 à Rutyazo, commune de Kayokwe dans la province de Mwaro. Fils de Rucintango, Sinunguruza Therence  est l’un  des hommes politique tutsi burundais.

Sinunguruza suit des études de droit à l'université du Burundi. Il fait une carrière dans la magistrature et est nommé vice-président de la Cour suprême du Burundi à la fin des années 1980.
Il préside la Commission électorale nationale indépendante (CENI), lors des premières élections pluralistes au Burundi en 1993, remportées par Melchior Ndadaye et son parti le FRODEBU. Il est nommé ambassadeur auprès de l'ONU à New York mais est rapidement rappelé à Bujumbura.

Sinunguruza est vite  nommé ministre des Réformes institutionnelles et des relations avec l’Assemblée nationale le 5 octobre 1994. Il est chargé, le 22 juillet 1996, par le président par intérim Sylvestre Ntibantunganya de proposer une solution de sortie à la crise qui règne dans la capitale. Pierre Buyoya prend le pouvoir lors d'un coup d'État le 25 juillet 1996 et dépose Ntibantunganya. Sinunguruza quitte le gouvernement le 2 août 1996 mais sera ensuite nommé ministre de la Justice et garde des sceaux de 1997 à 2001, puis ministre des affaires étrangères de 2001 à 2005.  Sinunguruza fut élis député  en province de Mwaro, sa province Natale jusque 2010.

Le 28 août 2010, il est nommé premier vice-président du Burundi en tant qu'élu du parti majoritaire tutsi  l'UPRONA.

Térence Sinunguruza est plurilingue et un grand fan  de basketball. Il est  marié à Odette Ndikumagenge  et est père de quatre enfant.
 
Térence Sinunguruza  : Toutes les occasions sont bonnes pour atteindre ses objectifs

L’ambassadeur Térence, selon ses proches, c'est un tutsi de Mwaro, pour lequel toutes les occasions sont bonnes pour atteindre ses objectifs. Selon nos  sources, si Térence vise un intérêt personnel, il fait tout pour l’avoir quitte même à trahir les idéaux de son parti et ses proches.
 De ce qui précède, par exemple, Burundi transparence invoque entre autre une femme, proche de SINUNGURUZA qui continuât à croupir en  prison bien que ce  poids lourd de l’Uprona disposerait   un immense pouvoir de la délivrer : « Ainsi, avec l'Ambassadeur Térence  Sinunguruza, pourtant très expérimenté sur le plan politique…. Même pour le cas d'une jeune mère de famille, acquittée dans une affaire judiciaire et remise directement en prison sous pression du chef de cabinet de la deuxième Vice-présidence de la République, l'Ambassadeur Térence Sinunguruza n'arrive pas encore à obtenir la libération de cette dame, toujours en prison, pour des infractions imaginaires. Un chef de cabinet de la deuxième Vice-présidence de la République peut-il imposer sa loi dans un domaine réservé à la première Vice-présidence de la République ?

Membre fervent d’un mouvement politico-religieux, et le chrétien de l'Eglise El Shaddai,  Térence sait faire fonctionner et utiliser les mythes sur l'origine ou l'avenir, la puissance et la valorisation. Il remplace aisément le prêtre d'antan comme intercesseur face aux puissances spirituelles et étatiques. Selon ses proches, la promesse est un horizon de sens primordial chez cet home et ce dernier est relativement  honnête .
Homme de tous les régimes Burundais,  Térence  est  un bon  pêcheur en eaux troubles, et, selon nos sources,   un meuilleur  connaisseur de l'âme humaine, car il a une capacité évidente  de conquérir la confiance de forces neuves en politique.

Toutefois Térence Sinunguruza n’est pas évoqué   dans les extremist Tutsi.  Un bon nageur entre deux eaux, mais  il n’est pas un moulin à paroles.  Présentement devenu  un arroseur arrosé, Térence sinunguruza doit avoir d’autres flèches  dans son carquois pour garder la tête hors de l’eau.  

8 October 2013

Violence sexuelle sur les enfants: Les grooms et les bonnes doivent être serieusement surveillé


Une fillette  de  cinq ans  violé par un garçon  de 18 ans, les parents devraient veuillez sur leurs grooms.

Nombreuse fillette sont sexuellement violées
Shadhia a été violée  lundi  7 octobre 2013 dans le salon de son père à Kamenge, quartier Heha  par un groom de sa famille.

 «  Je m’introduisais  dans la maison lorsque j’ai remarqué sur les vêtements et sur  les cuisses de Shadia des choses blanches». ND. Dative témoigne. La bonne  fait savoir que la fille violée  marchait  les jambés écartés et ses yeux donnaient l’impression qu’elle a fortement pleuré. Dative dit : J’ai vite noté que shadia serait victime d’une violence sexuelle car le présumé coupable avait l’habitude de jouer avec elle quand elle est  nue. Puis   j’aperçois  Lewis -le présumé coupable- sortir de la chambre». Elle a par la suite  appelé au secours les femmes voisines qui finalement ont confirmé que l’abus sexuel a bien eu lieu.

Le présume coupable conduit à la police, l’enfant a été confié au Centre Seruka. L’officier de police  judiciaire nous a révélé que de cas de viole sexuels sont très fréquent en commune  kamenge. Certains victime préfèrent même  garder la bouche cousue surtout les femmes publique.

Violence sexuels sur les enfants…mal de vivre

 Les parents devraient veiller que leurs enfants sont placés  dans les bonnes mains. Les boys et les bonnes sont parfois pointés du doigt dans  les violences sexuelles  envers les enfants. C’est pour cette raison que les parents doivent savoir déceler les symptômes physiques fortement suspects d’une agression sexuelle chez l’enfant.

 

Les violences sexuelles exercées contre les enfants ont de profondes répercussions à court et long terme sur leur santé physique, leur développement psychologique et leur bien-être psychosocial.  De l’arrivée à la maison en provenance  de  service  les parents devraient bien vérifier  leurs enfants.
Dans la majorité des cas (60 à 90% des cas selon les pays), la jeune victime connaît son agresseur (membre de sa famille ou personne jouissant de sa confiance telle qu’amis de la famille, voisins, connaissance, éducateurs, enseignants, religieux, etc.). Plus elle est jeune, plus la probabilité est élevée que l’auteur soit un membre de sa famille ou un proche (baby-sitter, nourrice, par exemple).


 

   

 

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