30 March 2016

3e mangat : Secteur Mugoboka du Quartier Mutanga bientôt inaccessible




La rivière Ntahangwa, l’une de rivière qui traverse la ville de Bujumbura  agrandi exponentiellement ses rives. Quand il advenait  d’analyser les futurs dégâts qu’elle envisage de produire, il est temps de mettre en œuvre des stratégies plus ambitieuses pour protéger ce qui reste à protéger.
Riviere Ntahangwa Menace les immeubles( photo: iwacu)

«  Tout les autorités de  l’Etats sont au courant du danger » confie un des élus collinaire du quartier Mutanga.  Il affirme que l’actuel Vis –Président de la République Gaston Sindimwo - natif de la Commune Mukaza - est suffisamment informé des dommages  que la Rivière Ntahangwa ne cessent d’administrer aux  peuples qui lui  sont  bordiers  à chaque mois. «  Nous manquons les mots à dire  pour avertir le monde »  égosille  Nibasumba. Pour lui, il n’en peut plus.
 La situation est plus que grave, même désespérée pour les  parties des berges de la rivière Ntahangwa. Le désastre est  plus prononcé pour le secteur de Mugoboka qui visiblement dans quelques mois seulement sera coupé du reste de la ville de Bujumbura. Les passagers observent impuissamment l’écoulement de la route allant et revenant de Mugoboka.   Les rives  sont si fragiles de telle sorte qu’en un seul mois 10 m par trimestre soient tombé dans l’eau.
Les cris d’alarme ont fusé de partout mais rien n’a était réalisé dans le sens de limiter les dégâts. Déjà, en 2010, le président de l’Association pour le Développement du Quartier Mutanga, Alexandre Ndikumagenge, à indiqué au Publication de Presse Burundaise (P.P.B)  qu’il n’y a qu’un  seul passage pour se rendre à Mugoboka. «  Une fois que la route aura été coupée, ce sera terminé pour les habitants de la localité » a averti Ndikumagenge.
Le dernier cri d’alarme est lancé par Buvugarimwe. Il est urgent que le Gouvernement du Burundi sacrifie certaine priorité et empêcher le Général de Brigade Ntahangwa d’exécuter ses forfaits. C’est le seul tournant de l’histoire du Burundi  qui reste à franchir  pour montrer à l’Union Européenne  que le Burundi est plus qu’hier  souverain.  Il faut de lors, défendre en même temps le mandat et empêcher le mangat  de Ntahangwa d’arrondir  librement  ses rives.
                                                                                                        NIKIZA Georges

1 comment:

  1. Le dernier cri d’alarme est lancé par Buvugarimwe. Il est urgent que le Gouvernement du Burundi sacrifie certaine priorité et empêcher le Général de Brigade Ntahangwa d’exécuter ses forfaits. C’est le seul tournant de l’histoire du Burundi qui reste à franchir pour montrer à l’Union Européenne que le Burundi est plus qu’hier souverain. Il faut de lors, défendre en même temps le mandat et empêcher le mangat de Ntahangwa d’arrondir librement ses rives.

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