La rivière Ntahangwa, l’une de rivière
qui traverse la ville de Bujumbura agrandi
exponentiellement ses rives. Quand il advenait d’analyser les futurs dégâts qu’elle envisage
de produire, il est temps de mettre en œuvre des stratégies plus ambitieuses pour
protéger ce qui reste à protéger.
Riviere Ntahangwa Menace les immeubles( photo: iwacu) |
« Tout les autorités
de l’Etats sont au courant du danger »
confie un des élus collinaire du quartier Mutanga. Il affirme que l’actuel Vis –Président de la
République Gaston Sindimwo - natif de la Commune Mukaza - est suffisamment
informé des dommages que la Rivière
Ntahangwa ne cessent d’administrer aux peuples
qui lui sont bordiers à chaque mois. « Nous manquons les mots
à dire pour avertir le monde » égosille Nibasumba. Pour lui, il n’en peut plus.
La situation est plus que grave, même
désespérée pour les parties des berges
de la rivière Ntahangwa. Le désastre est plus prononcé pour le secteur de Mugoboka qui
visiblement dans quelques mois seulement sera coupé du reste de la ville de
Bujumbura. Les passagers observent impuissamment l’écoulement de la route
allant et revenant de Mugoboka. Les rives sont si fragiles de telle sorte qu’en un seul
mois 10 m par trimestre soient tombé dans l’eau.
Les cris d’alarme ont fusé de
partout mais rien n’a était réalisé dans le sens de limiter les dégâts. Déjà,
en 2010, le président de l’Association pour le Développement du Quartier
Mutanga, Alexandre Ndikumagenge, à indiqué au Publication de Presse Burundaise (P.P.B)
qu’il n’y a qu’un seul passage pour se rendre à Mugoboka. «
Une fois que la route aura été coupée, ce sera terminé pour les habitants de la
localité » a averti Ndikumagenge.
Le dernier cri d’alarme est lancé
par Buvugarimwe. Il est urgent que le Gouvernement du Burundi sacrifie certaine
priorité et empêcher le Général de Brigade Ntahangwa d’exécuter ses forfaits. C’est
le seul tournant de l’histoire du Burundi qui reste à franchir pour montrer à l’Union Européenne que le Burundi est plus qu’hier souverain. Il faut de lors, défendre en même temps le
mandat et empêcher le mangat de
Ntahangwa d’arrondir librement ses rives.
NIKIZA Georges
Le dernier cri d’alarme est lancé par Buvugarimwe. Il est urgent que le Gouvernement du Burundi sacrifie certaine priorité et empêcher le Général de Brigade Ntahangwa d’exécuter ses forfaits. C’est le seul tournant de l’histoire du Burundi qui reste à franchir pour montrer à l’Union Européenne que le Burundi est plus qu’hier souverain. Il faut de lors, défendre en même temps le mandat et empêcher le mangat de Ntahangwa d’arrondir librement ses rives.
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